Le docteur et le patient
Valentin avait 18 ans. Ce soir-là, une douleur sourde lui tordait le ventre. Allongé sur son lit, torse nu malgré la fraîcheur de la chambre, il serrait les dents. Sa mère, affolée, avait appelé un médecin en urgence.Le docteur arriva moins de vingt minutes plus tard. Il avait la quarantaine, brun, les cheveux légèrement ondulés, des yeux verts perçants qui semblaient tout dévorer du regard. Grand, épaules larges, il dégageait une assurance tranquille. Il monta directement à l'étage.« C'est la chambre du haut, docteur ! » lança la mère depuis le salon. « Je vous laisse, je dois finir le dîner. Il est grand, il saura vous expliquer… »Elle referma la porte du bas. Le silence tomba.Toc toc.La porte s'ouvrit doucement. Le médecin entra, referma derrière lui sans bruit.« Bonsoir, Valentin. Tu as mal au ventre, c'est ça ? »
Sa voix était grave, posée, presque caressante.Valentin, allongé sur son lit, les cheveux blonds en bataille, les yeux verts clairs un peu fiévreux, hocha la tête. Il était torse nu, son corps d'athlète (des années de natation et de muscu) luisant légèrement sous la lampe de chevet. Son jogging gris descendait bas sur ses hanches, laissant voir le V parfait de ses abdominaux.Le docteur posa sa sacoche, s'approcha lentement.« 18 ans, c'est ça ? »
Il sourit, un sourire en coin. « Je vais t'examiner. Allonge-toi bien. »Valentin obéit. Le médecin s'assit au bord du lit. Il posa d'abord deux doigts sur son poignet, prit son pouls… puis laissa traîner sa main plus longtemps que nécessaire.« Respire calmement. »Il remonta lentement sa main le long du bras musclé de Valentin, effleura son épaule, puis descendit sur son torse. Ses doigts étaient chauds. Il palpa d'abord doucement autour du nombril, appuya un peu plus fort.« Là ? »
Valentin tressaillit. « Oui… un peu plus bas. »Le docteur baissa les yeux. Le jogging de Valentin commençait à se tendre ostensiblement. Il ne fit aucun commentaire… mais son regard s'attarda.« Il faut que je palpe plus précisément. Tu permets que je baisse un peu ? »Valentin déglutit. Il hocha la tête, les joues rouges.Le médecin glissa ses doigts sous l'élastique, descendit le jogging juste assez pour dégager le bas-ventre. Valentin n'avait rien en dessous. Son sexe déjà à moitié dur se dressa aussitôt sous l'air frais… et sous le regard brûlant du docteur.« Oh… je vois que ça réagit vite chez toi », murmura l'homme en souriant franchement cette fois.Il posa sa main entière sur le bas-ventre de Valentin, juste au-dessus de la base de son sexe. Il appuya lentement, profondément, comme pour palper… mais ses doigts frôlaient la peau sensible, descendaient parfois un peu trop bas.Valentin gémit doucement, les yeux mi-clos.« C'est là que ça fait mal ? » demanda le médecin d'une voix rauque.« Non… plus bas maintenant… »Le docteur rit doucement. Il referma sa main autour du sexe de Valentin, le serra doucement, puis entama un lent mouvement de va-et-vient.« On va détendre tout ça… tu es très tendu, jeune homme. »Valentin haletait déjà. Il se cambra légèrement, laissant le médecin prendre totalement le contrôle.« Docteur… » souffla-t-il.« Chuuut. Laisse-moi m'occuper de toi. Tu as 18 ans, tu es magnifique… et je vais te soulager comme il faut. »Le médecin se pencha, approcha ses lèvres de l'oreille de Valentin.« Tu veux que je continue avec la main… ou tu préfères que je goûte ? »Valentin, les yeux brillants de désir, murmura d'une voix tremblante :« Goûte… s'il te plaît… »Le docteur sourit, descendit lentement le jogging jusqu'aux chevilles, puis se pencha. Sa langue chaude effleura d'abord le gland, fit un cercle lent, puis il prit Valentin entièrement dans sa bouche, profondément, sans hésiter.Valentin gémit fort, agrippa les draps. Le médecin alternait entre succion lente et profonde, et de petits coups de langue précis qui le rendaient fou.Quelques minutes plus tard, Valentin jouit violemment dans la bouche du docteur, le corps secoué de spasmes.L'homme remonta, essuya ses lèvres du revers de la main, puis se pencha pour embrasser Valentin longuement, lui faisant goûter son propre goût.« Ta douleur est partie ? » demanda-t-il en riant doucement.Valentin, encore essoufflé, sourit faiblement.« Complètement… mais je crois que je vais avoir besoin de consultations régulières… »Le docteur caressa sa joue.« Quand tu veux, beau gosse. Et la prochaine fois… je fermerai la porte à clé. »
