Confession d'étudiant
Petit détail avant le récit : j'avais déjà raconté certaines de mes aventures ici, mais j'ai du recréer un compte, donc j'ai tout perdu... Cette anecdote n'a jamais été raconté car je m'en suis rappelé tout récemment :
C'était lors de ma première année de fac, j'avais déjà eu des petites expériences avec mecs, mais je n'assumais pas du tout et restait hyper secret. Mon quotidien dans la semaine était partagé entre la fac de lettres, mon petit studio et parfois quelques sorties entre amis. Evidemment, dans mon studio j'avais internet et je me branlais beaucoup sur des sites gay, toujours plein d'envies... Je précise que je suis majeur à ce moment !
On devait être au début de l'automne, et un soir, tard, je n'en pouvais tellement plus que je décide sortir, marcher dans la rue en pensant bêtement faire une rencontre... Très optimiste, mais j'ai une envie folle de sucer et plus... Utopique donc, et pourtant, au détour d'une rue, après 15/20 minutes de marche dans le quartier, je croise un homme, clairement de 30ans mon ainé, qui me demande une clope...
Je ne fume pas, mais il entame la conversation, me demandant si je suis du quartier, mes études, et finalement ce que je fais dehors à cette heure-ci (il devait être près de minuit)... Et là, je ne sais pas pourquoi, je décide d'assumer mon envie, du moins en partie et je lui réponds :
- je me sentais tout seul chez moi et je cherchais à croiser un monsieur comme vous...
Je vois clairement ses yeux s'allumer car il comprend aussitôt et me rétorque :
- tu veux faire quoi avec un monsieur comme moi...
Mon coeur bat la chamade, je dois être rouge cramoisi, mais j'assume :
- bah, lui faire plaisir...
- OK. J'habite juste là, en haut de la rue. Tu veux venir chez moi?
En deux temps trois mouvements, nous voilà chez lui, un appartement petit mais sympa d'un homme qui semble être un intello. Beaucoup de livres, des disques, et puis, lui, là, devant moi. Il ne me plait pas forcément beaucoup, au premier abord. Il est néanmoins grand, grisonnant, du ventre mais costaud. Je me souviens de pull en laine à motif qu'il enlève assez rapidement tandis qu'il m'invite à me déshabiller.
Je ne me fais pas prier et balance mes fringues pour me retrouver rapidement nu devant lui. J'adore cette sensation, alors qu'il me mate de haut en bas, me demande me tourner, de me cambrer et puis qu'une claque retentisse sur ma fesse. Il s'assied dans le canapé et me demande presque aussitôt de déballer son engin... Je déboutonne son pantalon en velours, baisse son slip et dévoile une queue de taille normale mais au gland tout rond, épais et déjà très luisant de mouille... Il appuie sur ma ma tête et j'ouvre grand la bouche sans me faire prier, j'étais là pour ça...
Pendant cette longue fellation hyper excitante pour moi, il me parle de lui. Il s'appelle Michel, célibataire et en manque, 54 ans et est très heureux d'être tombé par hasard sur moi... Moi, je continue de pomper, à poil et à genoux sur le tapis, honorant ce gros gland de ce que pensais être ma meilleure prestation...
Bientôt, il me dit "tu ne vas pas partir sans m'offrir ton petit cul, quand même ?"... Je comprends alors le message et tout en restant au sol, je m'avance sur le canapé pour reposer mon torse dessus, en tendant ma croupe, l'offrant docilement à Michel... Il me fait monter, pour que mon cul soit à la hauteur de sa queue, il se déshabille, enfile une capote et commence à presser son gland contre mon jeune trou encore peu expérimenté (mais pas vierge!)...
J'essaie de me détendre, il appuie de plus en plus et parvient à s'enfoncer... J'halète, il s'excite aussi, me flattant de quelques claques sur les fesses. Il commence à me limer, lentement, j'ai un peu mal mais ne dit rien. Quelques picotements ne peuvent surpasser le sentiment d'énorme excitation que je ressens à ce moment-là... Puis il accélère, accompagnant ses coups de reines de râles raques qui m'excitent à fond... Je mords le coussin, encaisse et me laisse baiser par cet inconnu jusqu'à ce qu'il explose dans un dernier coup de rein bien bourrin...
Je le regarde par dessus mon épaule, voit qu'il a jouit et m'avance, sortant son sexe de moi. Je me retrouve assis face à lui, nu, suant et ma bite en berne, mais terriblement satisfait. Il souhaite me rouler une pelle, mais c'est une époque où j'avais encore un peu de mal avec ça, alors j'abrège vite, d'autant que l'haleine de tabac ne me plait pas trop...
La suite ? On reste nus à papoter, jusqu'à ce qu'il souhaite remettre le couvert... J'ai de drôles de sensations dans l'anus et préfère ne pas trop abuser de ce côté, alors je le resuce avec plaisir, tandis qu'il pivote pour transformer l'acte en 69, lui sur moi... Sa queue sent la capote vanille mais c'est pas grave, lui me suce comme un affamé, fouillant out de même mon cul dilaté de son doigt et je jouis très vite, dans sa bouche, car il me maintient contre lui. Il aspire tout, puis demande à nouveau à me prendre, ce à quoi je cède, ses doigts dans mon cul étant un bon argument...
Il me rebaise alors, cette fois-ci en me mettant dos sur le canapé, les jambes en l'air posées sur ses épaules... L'acte n'est pas hyper long, il finit par se retirer puis jouir sur ma queue flasque.
On finira la nuit par une bonne douche et moi qui rentre chez moi calmé et avec l'envie d'assumer un peu plus ma sexualité. On s'est revu 2/3 fois avec Michel...
